Auto-jobs outille les futurs professionnels du secteur automobile

Plateforme d’emploi bien connue, Auto-jobs dispose aussi d’experts en recrutement qui peuvent outiller les professionnels dans leur carrière… avant même qu’elle n’ait commencé !

Depuis l’automne, la conseillère en recrutement automobile d’Auto-jobs.ca Sophie Corriveau rend visite à des centres de formation professionnelle du Québec et de l’Ontario pour prodiguer aux étudiants de précieux conseils en matière d’emploi et d’évolution de carrière.

En tant qu’ancienne responsable des RH au sein d’un concessionnaire, l’experte en acquisition de talents connaît très bien la réalité du marché du travail dans le secteur automobile.

« Je ne compte plus le nombre de fois, par exemple, où nous avons éliminé des candidats en raison de leur présentation lors de l’entrevue. C’est une des informations que ces jeunes doivent savoir pour éviter des faux pas », dit-elle.

Le bon coffre à outils professionnel

Au cours d’une petite conférence (moins d’une heure) présentée dans les CFP, Sophie Corriveau montre aux étudiants comment réaliser leur CV, faire des recherches sur l’entreprise qui les intéresse, se présenter lors d’une entrevue et s’inscrire sur des plateformes ciblées qui peuvent propulser leur carrière.

« Avec LinkedIn, notamment, ils ont la possibilité de développer leur réseau dans le milieu automobile, même avant d’avoir obtenu leur diplôme, explique-t-elle. Et avec Auto-jobs, ils sont au courant des meilleures opportunités sur le marché, plutôt que de perdre leur temps sur des sites web généralistes. »

Preuve que cette intervention est très utile, les étudiants posent beaucoup de questions à Mme Corriveau. Certains veulent savoir comment répondre à certaines questions pièges en entrevue, comme : « Pourquoi postulez-vous ici plutôt qu’ailleurs ? »

D’autres veulent connaître les perspectives professionnelles en région, les options d’évolution et de réorientation, les rémunérations types. « Je peux même guider ceux qui ont un casier judiciaire et qui ne savent pas trop comment approcher leurs futurs employeurs », ajoute la spécialiste en recrutement.

Avoir confiance en l’avenir

Que ce soit à l’École des métiers de l’équipement motorisé de Montréal (EMEMM), où elle a présenté une conférence en janvier, ou bien au Georgian College, en Ontario, où elle a tenu un kiosque d’information en novembre dernier lors du Student Aftermarket Day, Sophie Corriveau rencontre partout des étudiants passionnés par leur futur métier et impatients d’intégrer un emploi.

« Ils savent qu’au sortir de leur formation, ils auront un avenir assuré dans le milieu automobile, où les besoins sont nombreux, confirme-t-elle. Alors, ils ont hâte de travailler et d’évoluer. Certains d’entre eux ont même déjà en tête des plans de carrière, c’est beau à voir ! »

Cette confiance, Mme Corriveau la côtoiera encore tout au long de l’année, puisqu’elle compte rendre visite à plusieurs CFP, dont ceux du Grand Montréal d’ici le mois d’avril. Votre centre de formation aimerait-il recevoir cette experte et faire bénéficier gratuitement à ses étudiants de solides connaissances en matière d’emploi et de recrutement ? Il suffit de la joindre à scorriveau@auto-jobs.ca.

CCPQ : Donner un nouveau souffle à la main-d’œuvre en carrosserie

Jonathan Pilon, PDG de la CCPQ @Michel Beaunoyer

En signant un partenariat avec Auto-jobs.ca, le nouveau président exécutif de la Corporation des carrossiers professionnels du Québec met en avant une de ses priorités phares : attirer et recruter de la main-d’œuvre en carrosserie au Québec.

Depuis le mois d’août, Jonathan Pilon fait souffler un vent de renouveau dans le milieu de la carrosserie québécoise. Lui-même ancien carrossier, en plus d’avoir travaillé comme estimateur de dommages, ainsi qu’à titre de gestionnaire pour plusieurs compagnies d’assurances, il connaît très bien son domaine d’activités. C’est d’ailleurs ce qui l’a poussé à se porter candidat à la tête de la Corporation des carrossiers professionnels du Québec (CCPQ), qui doit faire face à plusieurs défis de taille.

« Depuis plus de 20 ans que j’évolue sans cette industrie, j’ai toujours été frappé par l’image du verre à moitié vide qui colle à la carrosserie, confie-t-il. C’est comme si ce corps de métier était l’enfant pauvre du Québec, sans reconnaissance, sans relève, sans intérêt auprès des jeunes. Et pourtant, il est en pleine évolution ! Nouveaux matériaux, véhicules électriques et intelligents, automatisation ; tout change rapidement dans ce domaine, même si c’est méconnu. » Poursuivre la lecture « CCPQ : Donner un nouveau souffle à la main-d’œuvre en carrosserie »

Marie-Soleil Labelle : les deux mains sur le volant

Elle n’a que 20 ans, mais elle connaît déjà très bien les podiums et carbure depuis longtemps à la vitesse, au vrombissement du moteur et à l’odeur d’essence des bolides qu’elle conduit sur les pistes de course canadiennes et américaines. Rencontre avec Marie-Soleil Labelle, une pilote qui voit grand.

À première vue, Marie-Soleil Labelle a tout de la jeune universitaire. Elle est féminine, élancée, articulée, engagée dans un double baccalauréat en génie mécanique et en technologie de l’information à l’Université d’Ottawa.

Mais il ne faut pas se fier à cette première impression. Parce que Sunny, comme ses proches la surnomment, est une talentueuse et redoutable pilote qui s’est notamment classée, en 2022, au 2rang de la Coupe Nissan Sentra en classe Micra, ainsi que 3e au Grand Prix du Canada. Un Grand Prix d’ailleurs remporté la même année et en 2024 par une autre femme, Valérie Limoges, dont Marie-Soleil Labelle semble suivre les traces… et compte bien les dépasser. Où le boudin noir est sacré Poursuivre la lecture « Marie-Soleil Labelle : les deux mains sur le volant »

Recrutement international : pas de panique !

Les annonces gouvernementales ne signifient pas la fin du recrutement de travailleurs étrangers dans le secteur automobile. Voici comment manœuvrer pour les jours et mois à venir.

Comme nous en avions parlé dans cet article au mois de septembre dernier, Québec et Ottawa ont commencé à annoncer au mois d’août des restrictions à l’embauche de travailleurs étrangers temporaires à bas salaire (en deçà de 27,47 $ de l’heure, ou 57 000 $ par an) : gel pour six mois des recrutements à Montréal, refus de traitement des demandes d’EIMT dans les zones métropolitaines où le taux de chômage est de 6 % ou plus, nouveau plafond de 10 % de travailleurs étrangers temporaires au sein d’une entreprise, durée maximale d’emploi réduite de deux à un an.

Évidemment, ces annonces ont bousculé le milieu automobile, où le recrutement international est souvent vital pour combler un manque de main-d’œuvre récurrent. Il est donc compréhensible que plusieurs employeurs du secteur soient stressés en apprenant les décisions supplémentaires prises au cours des dernière semaines.

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Façonner l’avenir de la réparation en carrosserie

Le second événement de l’année 2024 du Forum canadien de l’industrie de la carrosserie (CCIF) a réuni de nombreux acteurs du milieu automobile autour des nouveautés, enjeux et opportunités de ce secteur d’activités.

Le 20 septembre dernier, à Montréal, le Forum canadien de l’industrie de la carrosserie (CCIF) a attiré beaucoup de professionnels : des réparateurs en carrosserie, des assureurs, des concessionnaires, des fabricants d’équipement d’origine (FÉO), des éducateurs, des fournisseurs et des prestataires de services.

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