Le Canada a devancé de cinq ans la date à laquelle son interdiction de vendre sur son territoire des voitures et des camions légers à essence. Les nouvelles réglementations entreront maintenant en vigueur en 2035 au lieu de 2040.
Dans moins de 15 ans, toutes les automobiles vendues au pays devront être des véhicules à émission zéro (VEZ). Cette exigence comprendra les véhicules électriques, mais aussi ceux propulsés à l’hydrogène.
L’annonce a été faite par le ministre fédéral du Transport Omar Alghabra, qui a également mentionné l’intention du Canada de développer des objectifs intérimaires pour 2025 et 2030. Pour les atteindre, le Canada planifie utiliser une combinaison de régulations et d’investissements. Le gouvernement continuera également d’assister financièrement ceux qui achètent des véhicules électriques.
Les travailleurs étudiants représentent une ressource précieuse pour tous les types d’entreprises. Les raisons pour les compagnies de se prévaloir de leurs services sont nombreuses, mais en voici quelques-unes importantes.
Que ce soit simplement pour combler un manque de main d’œuvre pendant l’été, pour entrer en contact avec les employés de demain ou pour se tenir au courant des dernières tendances et façons de faire, toutes les raisons sont bonnes pour embaucher des étudiants.
Capacité d’adaptation, formation de pointe, bonne connaissance des produits… Les directeurs et directrices de services financiers ont autant de qualités humaines que d’aptitudes théoriques dans l’industrie automobile.
Quelles sont les forces d’un bon directeur ou d’une bonne directrice de service financier ? Cette question a de l’importance pour les concessionnaires automobiles, considérant les profits que représentent la vente de produits du service financier au Québec (près de 50% des bénéfices à certains endroits), selon un article du web magazine AutoMédia .
Les qualités essentielles des personnes qui occupent ce poste se trouvent aussi bien sur le plan des relations interpersonnelles (écoute du client, bonne interaction avec les fournisseurs, etc.), que sur celui de l’apprentissage. En effet, la formation continue semble être la pierre angulaire qui fait toute la différence pour les anciens et futurs responsables des services financiers dans le secteur automobile.
Lorsque les journées s’allongent et que le soleil rayonne, il est difficile de rester concentré à son poste de travail, que ce soit à l’atelier, dans les bureaux ou une salle de montre. Alors, comment faire en sorte que notre équipe reste motivée ?
S’agit-il d’une réaction naturelle après de longs mois à languir à l’intérieur ? Ou bien des vestiges du conditionnement au cycle scolaire de notre enfance, alors que nous disposions de mois entiers de vacances chaque année ?
Qu’importe la raison, il est clair que lorsque l’été arrive, nous avons tous envie d’en profiter… hors du travail. Il devient dès lors primordial, en tant qu’employeur, de maintenir la productivité de son équipe en trouvant des façons de la garder motivée. Il n’existe pas de solution miracle en la matière, mais plusieurs petites choses peuvent être faites afin de maintenir l’efficacité de tous les employés pendant les mois chauds.
Si les vélos électriques sont tendance, d’autres à la fine pointe de la technologie pourraient très bientôt les remplacer sur les pistes cyclables. Préparez-vous à l’arrivée des vélos intelligents !
La popularité croissante des vélos électriques ne s’est pas amenuisée durant la pandémie, bien au contraire. D’après Francis Marier, copropriétaire du magasin de vélos électriques E2-Sport, les ventes semblent aller bon train. « Pour l’instant, 90% de l’inventaire a été vendu », affirme-t-il au cours d’une entrevue téléphonique.
Selon lui, l’attrait pour le vélo à assistance électrique (VAE) serait lié aux possibilités qu’apporte ce type de véhicule, notamment la capacité de diminuer les efforts physiques lors d’un trajet à bicyclette plus ou moins loin, ou bien en pente.
« Le VAE permet aussi de compenser l’effort pour se concentrer sur la sortie, ou de faire de longs trajets sans pour autant que ça représente un gros effort physique», dit le copropriétaire du magasin E2-Sports.
Francis Marier, copropriétaire de l’entreprise E2-Sports, utilise des vélos électriques pour tous ses besoins, y compris les plus sportifs.
Des vélos de plus en plus technos
Si le vélo électrique est en pleine croissance, il est fort possible qu’il se fasse rapidement damner le pion par un vélo encore plus évolué. Effectivement, comme son nom l’indique, le vélo intelligent est….intelligent. Pour être exact, il propose des options en fonction des éléments détectés autant chez le ou la cycliste que dans son environnement immédiat, grâce à un système intégré. En termes techniques, les vélos intelligents sont dotés d’un système technologique qui s’adapte à la vitesse des cyclistes, mais qui fournissent également une panoplie d’autres fonctionnalités.
Par exemple, le vélo intelligent Angell, conçu par des créateurs français, a placé un détecteur antichute sur son dernier modèle de vélo électrique, le Angell/S. En cas d’accident, un message est envoyé directement à la personne enregistrée en tant que contact d’urgence sur son téléphone.
Avis Vélo Angel, chaîne YouTube Les Numériques
Dans le même esprit, un des développeurs de l’entreprise chinoise Oppo, Zhi Hui Jun, a créé un vélo à équilibrage automatique, à l’aide d’un accéléromètre et de capteurs gyroscopiques qui permettent à la roue avant du vélo de compenser et de changer rapidement de direction en cas de chute.
Presque comme sur une voiture
Les vélos intelligents comme l’Angell offrent plusieurs fonctions grâce aux nouvelles technologies : verrouillage automatique, système de surveillance par géolocalisation, vibreur d’aide à la navigation.
Mais le vélo intelligent peut aller encore plus loin. Par exemple, les cyclistes aguerris le savent bien, pour tourner il faut lever le bras. Eh bien le vélo intelligent pourrait régler ce problème une fois pour toutes. En effet, certains modèles de vélos intelligents possèdent des clignotants intégrés et des feux arrière.
Benjamin Sagna est le président fondateur de Yulbike, fournisseur québécois de vélos électriques mettant l’accent sur le rapport qualité/prix. Celui-ci n’avait pas l’air surpris en entendant parler des possibilités offertes par ce type de vélos. « C’est sûr que maintenant, on trouve différentes fonctionnalités intégrées aux vélos électriques », dit-il au sujet des vélos intelligents.
L’équipe de l’entreprise YulBike. Benjamin Sagna, président et fondateur de Yulbike, est la 2e personne en partant de la gauche.
Les mêmes matériaux que les ordinateurs
La conception des VAE, intelligents ou non, nécessite souvent l’usage d’aluminium pour le cadre du vélo. « Entre l’acier plus lourd et moins cher, et le carbone plus léger mais extrêmement cher, l’aluminium est un bon compromis », déclare Benjamin Sagna.
Les batteries des vélos, quant à elles, sont pour la plupart au lithium, le même type de matériaux utilisés pour les téléphones intelligents et les ordinateurs. Ces derniers amènent moins de contraintes, en termes de poids ou d’économie d’énergie, que les dispositifs auparavant consacrés aux batteries d’après le président et fondateur de Yulbike. D’ailleurs, le vélo intelligent conçu par l’inventeur chinois Zhi Hui Jun fonctionne avec une batterie au lithium qui possède une autonomie d’environ trois heures.
Le vélo intelligent à la sauce québécoise
Pour ceux qui ne souhaitent investir dans un de ces nouveaux vélos, d’autres options s’offrent à eux. Le SmartHalo et SmartHalo 2 sont deux appareils à installer directement sur son vélo qui ont été inventés par l’entreprise québécoise SmartHalo. Ces modules disposent d’un système antivol avec une alarme, de lampes intégrées, donnent des informations sur le kilométrage et peuvent être connectés à un téléphone intelligent. Il est même possible de lire ses messages textes à partir du SmartHalo. L’application SmartHalo est disponible sur l’Apple store. Plusieurs options s’offrent aux cyclistes qui veulent faire l’expérience des fameux smartbike.