Auto-jobs.ca et Canari Recrutement International deviennent partenaires

Les deux leaders en emploi et en recrutement unissent leurs forces pour aider les employeurs québécois et canadiens en pénurie de personnel.


Stéphanie Massé et Karim Mouldi.

Le recrutement de main-d’œuvre qualifiée dans le secteur automobile devient de plus en plus complexe, ce n’est plus un secret. Manque de relève, grande mobilité des travailleurs, manque de finissants dans plusieurs catégories ; de la mécanique générale et spécialisée, à la carrosserie, en passant par la peinture industrielle et le conseil technique, il est difficile d’attirer et de conserver des talents.

L’emploi et le recrutement étant, depuis plus de 20 ans, au cœur des activités d’Auto-jobs.ca, le moteur de référence du secteur automobile avec la plus vaste communauté de professionnels au Québec, l’entreprise a décidé d’épauler de manière encore plus concrète son milieu en s’associant à une des agences de recrutement international les plus sérieuses et reconnues sur le marché, Canari.

Comme l’explique Stéphanie Massé, directrice nationale des ventes chez Auto-jobs.ca, « Grâce à nos services d’affichage et de recrutement assisté, nous arrivons à trouver de bons candidats. Mais pour certains postes clés, c’est quasiment impossible. Par conséquent, le fait d’offrir la possibilité d’avoir recours à des travailleurs étrangers est une solution très intéressante pour notre clientèle. »

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Travailleurs étrangers : quel impact les décisions gouvernementales auront-elles dans le secteur automobile?

Québec et Ottawa, engagés dans un bras de fer en immigration, ont annoncé des restrictions concernant les travailleurs étrangers temporaires qui vont toucher l’industrie automobile québécoise. Mais à quel point?

Le 20 août dernier, le gouvernement du Québec a proclamé qu’à compter du 3 septembre, la délivrance des permis pour les travailleurs étrangers temporaires à bas salaire (en deçà de 27,47 $ de l’heure, ou 57 000 $ par an) qui s’établissent à Montréal sera gelée pour six mois. Seuls les secteurs de la santé, de l’éducation, de la construction, de l’agriculture et de la transformation alimentaire bénéficieront d’une exemption.

Puis le 26 août, le gouvernement du Canada a aussi pris de nouvelles mesures pour les postes à bas salaire qui prendront effet le 26 septembre. On y retrouve le refus de traitement des demandes d’EIMT dans les zones métropolitaines où le taux de chômage est de 6 % ou plus, un nouveau plafond de 10 % de travailleurs étrangers temporaires au sein d’une entreprise, et une durée maximale d’emploi réduite de deux à un an. À peu de choses près, les secteurs exemptés sont les mêmes que ceux identifiés par le gouvernement québécois.

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