Les professionnels du secteur automobile canadien auront désormais un accès privilégié aux services d’Auto-jobs.ca grâce à une entente exclusive.
Grande nouvelle ! Le 20 décembre dernier, deux leaders du milieu automobile canadien, Auto-jobs.ca et l’AIA Canada, se sont associés pour optimiser le recrutement de talents partout au pays. Auto-jobs.ca est depuis 20 ans le premier site d’emplois au Québec dans le secteur automobile, et depuis un an, il est imbriqué avec le magazine de référence canadien Autosphere au sein du Groupe Velan Media. En devenant partenaire avec l’Association des industries de l’automobile du Canada (AIA Canada), l’entreprise compte donc déployer les services signature qui ont assuré son succès partout au Canada. « Notre compréhension mutuelle de l’industrie, ainsi que les capacités d’adaptation rapides de la plateforme Auto-jobs.ca nous incitent à nous joindre à elle pour élargir son offre sur l’ensemble du territoire canadien » confirme Jean-François Champagne, CGA, président et directeur général de l’AIA Canada. Cette entente représente également pour l’association un geste de soutien concret en termes de recrutement et de rétention de travailleurs qualifiés. Les membres de l’AIA Canada auront en effet droit à des tarifs exclusifs sur tous les services d’Auto-jobs.ca, ce qui leur permettra de faire face efficacement à leurs enjeux de main-d’œuvre. Stéphanie Massé, directrice nationale des ventes pour Auto-jobs.ca, Comme l’indique Stéphanie Massé, directrice nationale des ventes pour Auto-jobs.ca, « Ce partenariat sera bénéfique pour les membres de l’AIA Canada. En plus de rabais sur l’affichage de postes, cette entente leur donnera un accès privilégié à une batterie de services, comme le recrutement assisté, la vérification d’antécédents, le placement publicitaire, ou encore le marketing web. Auto-jobs.ca est une plateforme à 360 degrés fière d’appuyer le développement et la relève dans l’industrie automobile canadienne. » Le recrutement automobile optimisé Les entreprises associées avec Auto-jobs.ca ont de leur côté accès à l’ensemble de ces dossiers. Mais elles peuvent aussi attirer l’attention des candidats grâce à des formules mêlant offres d’emploi, outils de visibilité et stratégies de contenu. Les membres de l’AIA Canada bénéficieront donc de l’expertise reconnue d’Auto-jobs.ca à moindre prix, en plus d’une page d’entreprise créée spécifiquement pour eux et visible sur la plateforme. Le déploiement des services d’Auto-jobs.ca à l’ensemble du Canada s’effectuera au cours des prochains mois. L’AIA Canada invite donc dès maintenant ses membres à communiquer avec leurs magasins de pièces et leurs ateliers pour profiter pleinement de cette entente exclusive. « Cette approche rejoint notre désir de faire briller les carrières dans notre industrie, conclut le président de l’AIA Canada. Nos entreprises pourront montrer en détails leur environnement de travail et attirer plus facilement des candidats. »
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Catégorie : Nouvelles d’Auto-Jobs.ca
Auto-Jobs et Autosphere : l’alliance de l’excellence
C’est officiel ! Auto-Jobs et Autosphere, deux leaders de l’industrie automobile canadienne, sont désormais unis ! Une excellente nouvelle pour tous les professionnels du milieu.
Le Groupe Vélan Média (GVM), propriétaire de la plateforme auto-jobs.ca, vient d’annoncer l’acquisition de Rousseau Communication, l’entreprise à la tête du magazine bilingue Autosphere et de son pendant numérique autosphere.ca.
Une alliance tout à fait naturelle, selon Isabelle Courteau, qui codirigeait Rousseau Communication : « L’acquisition d’Autosphere est une suite logique dans le développement de GVM. Auto-Jobs et Autosphere sont des courroies de transmission connues de toute l’industrie automobile. Et comme ces deux marques sont complémentaires, elles auront une belle synergie ensemble. »
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L’étoile du mois Auto-jobs : François Valiquette, de la mécanique automobile à l’aéronautique
Nombreux sont les mécaniciens qui possèdent des parcours atypiques. Voici donc François Valiquette, monteur mécanique pour Pratt & Whitney et ancien mécanicien automobile.
François, comment êtes-vous passé de la mécanique automobile à aéronautique ?
Eh bien, je n’ai pas commencé par l’automobile, mais en soudure, une spécialité dans laquelle j’ai suivi une formation. Mais comme j’avais également un grand intérêt pour les voitures, les moteurs, les outils, etc., j’ai décidé d’entreprendre ensuite une formation en mécanique automobile. Après avoir gradué, j’ai travaillé chez un concessionnaire en tant que mécanicien.
Malheureusement, le rythme de travail était très rapide et l’ambiance de travail ne me convenait pas. J’ai donc cherché un autre emploi et ai été engagé chez Novabus, un constructeur de bus électriques. C’est là qu’on m’a fait suivre une formation supplémentaire d’électricien. J’y ai passé trois ans avant d’être embauché par Pratt & Whitney, il y a de cela quelques mois. Je suis encore en train de suivre ma formation payée afin d’apprendre le métier de monteur mécanique spécialisé en aéronautique.
L’étoile du mois Auto-jobs Marissa Spinola, mécanicienne
La passion des automobiles, Marissa Spinola, une jeune mécanicienne fraîchement diplômée du DEP en mécanique automobile qui œuvre actuellement chez Mitsubishi, l’a jusqu’au bout des ongles. Voici son témoignage !
Pourquoi avez-vous décidé d’entreprendre des études en mécanique automobile ?
J’ai grandi dans une famille de passionnés de voitures. Dès que mon père touchait à la sienne, j’accourais pour l’aider et voulais toujours en savoir plus. C’est donc un peu normal que je me sois intéressée très jeune à la mécanique. Je suis aussi très habile de mes mains. J’ai bâti moi-même tous les meubles de ma chambre et plusieurs autres dans la maison de mes parents.
J’ai donc complété mes études secondaires, avant de m’inscrire au DEP en mécanique automobile. J’avais de très bonnes notes à l’école, mais le DEP m’a permis de faire ce que j’aime par-dessus tout : travailler sur des voitures !
Quels sont vos plans de carrière ?
Je suis entrée chez Mitsubishi en tant que mécanicienne cette année, après avoir terminé mes études. Pour l’instant, je prends de l’expérience et je réfléchis au futur de ma carrière. Par exemple, j’aimerais occuper le poste de cheffe technicienne dans un concessionnaire automobile, que ce soit ici chez Mitsubishi ou ailleurs. Ou bien aller chercher une certification en plus mécanique des moteurs diesels pour travailler dans le domaine de la mécanique de véhicules lourds. Poursuivre la lecture « L’étoile du mois Auto-jobs Marissa Spinola, mécanicienne »
L’équité salariale selon une recruteuse
Pourquoi le Québec n’a-t-il pas encore atteint la parité salariale hommes-femmes ? Marina Gérard, spécialiste en recrutement, nous fait mieux comprendre ce phénomène.
Les hommes, les femmes et les congés
Pourquoi y a-t-il encore une différence de salaire entre les hommes et les femmes ? Tout d’abord, je dirais qu’elle est due au fait que la femme moyenne prend plus de congés que l’homme moyen. En effet, elles sont plus susceptibles de prendre, en plus de congés de maternité, plus de congés maladie pour surveiller les enfants. Bref, pour des raisons culturelles qui sont hors de leur contrôle, les femmes sont moins présentes que les hommes au travail, et on les considère du même coup moins engagées.
Dans cette même veine, lorsque les femmes s’absentent beaucoup, il est plus difficile pour elles de demander une augmentation salariale annuelle. La majorité d’entre elles ne le font d’ailleurs pas assez fréquemment, ce qui contribue à creuser l’écart entre leurs salaires et celui de leurs pairs masculins, qui suit davantage l’augmentation du coût de la vie. Si une femme décide donc d’avoir plusieurs enfants, son salaire en souffrira de façon importante.
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