Le Ford Ranger Splash est de retour !

Pour 2022, Ford fait plaisir aux amateurs du Ranger et joue la carte de la nostalgie en ramenant à la vie un de ses modèles chouchous des années 1990. 

Récemment, le constructeur automobile américain Ford, basé à Dearborn, a annoncé officiellement le retour de l’ensemble Splash sur sa camionnette Ranger 2022, pour les modèles FX2 et FX4. 

Cela prouve bien que la mode est cyclique, même dans un domaine comme l’automobile. Cette version moderne du Ford Ranger Splash présentée par Ford se déclinera en plusieurs variantes, avec un look aussi jeune et excentrique que celui de la première version. 

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FIX4 Capital : l’expansion québécoise du secteur du prêt automobile niché

Avec 7,2 millions de dollars de levés lors de sa première ronde de financement, l’entreprise montréalaise FIX4 Capital entre dans la cour des grands du domaine financier automobile québécois.

Fondée au début de l’année 2020, FIX4 Capital, dirigée par M. Della Porta et ses deux partenaires, Derek Lloyd et Robert Bédard, offre un financement flexible pour la réparation de véhicules jusqu’à concurrence de 10 000 dollars, pour des durées de 12 à 36 mois, en tirant parti de la technologie qui approuve des clients en l’espace de quelques minutes. 

Les prêts, sans vérification de crédit et à taux fixe (19,9%), qu’elle a déjà octroyés ont déjà aidé des centaines de conducteurs en difficulté financière à reprendre la route, en leur accordant l’argent nécessaire pour la réparation et l’entretien de leur véhicule.

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Rouler pour recharger sa voiture

Recharger les batteries de sa voiture en roulant simplement sur l’autoroute ? Ce sera peut-être bientôt possible grâce à des recherches américaines !

Imaginez pouvoir rouler le long d’une route pavée tout en rechargeant la batterie de votre voiture électrique. Vous n’avez pas besoin de vous arrêter. Vous n’avez pas besoin de sortir de votre véhicule. On dirait de la science-fiction, non ? Eh bien, ce rêve pourrait bientôt devenir réalité, du moins dans l’État d’Indiana aux États-Unis. 

Le Département de transport de l’Indiana, l’Université Purdue du même État et la compagnie allemande Magment GmbH ont joint leurs forces pour tenter de développer un tel système. L’objectif ultime serait de créer des autoroutes qui feront le chargement sans fil de toutes les voitures électriques qui l’emprunteront.

Un plan en trois phases

Les deux premières phases du projet consisteront en l’évaluation de plusieurs prototypes de béton qui seront analysés et optimisés sur le campus de l’Université Purdue. Pour la troisième phase, le Département de transport de l’Indiana construira un site pour mettre à l’épreuve le béton qui aura été développé. 

La route bétonnée sur laquelle l’équipe de développement fera ses tests fera au moins 400 mètres de long. On y évaluera la capacité du béton à charger des véhicules lourds avec des moteurs opérant à 200 kilowatts et plus. Le lieu de ce site n’est pas encore déterminé. 

Une fois les tests complétés et l’efficacité du béton confirmée, un segment d’autoroute sera sélectionné et électrifié pour des tests à plus grande échelle. 

Un pas important vers l’avant

« Ce projet est une étape très importante que nous franchissons vers le futur des systèmes de chargement dynamique sans fil. Le projet marquera le standard de l’électrification efficace, durable et abordable », a indiqué le président-directeur général de Magment, Mauricio Esguerra. 

Le début du projet est prévu plus tard cet été. Si les résultats ne s’avèrent pas positifs, l’espoir de développer une telle technologie ne sera toutefois pas perdu. Une équipe de recherche de l’Université Cornell poursuit en effet le même objectif que sa consœur Purdue, en utilisant pour leur part des technologies développées par la NASA pour transférer des signaux d’information à travers l’espace. 

« Au fur et à mesure que la demande pour des véhicules électriques s’agrandit, l’infrastructure qui permettra l’utilisation continue de ces voitures doit évoluer. Le besoin d’innovation dans ce milieu est clair », explique le commissaire du département de transport de l’Indiana, Joe McGuinness. 

Les équipes de Purdue et de Cornell sont les premières à se pencher sur la question, mais elles ne seront sûrement pas les dernières. Avec les conséquences des changements climatiques, de plus en plus évidentes, la nécessité de créer des infrastructures durables et efficaces l’est tout autant. Des recherches à suivre attentivement, donc !

Un VUS électrique chinois sur nos routes !

Tesla, Hyundai IONIQ EV et bientôt…. ET5 ! Ce nouveau véhicule électrique fabriqué en Chine arrive sur nos routes. 

Le ET5 sera bientôt sur les routes nord-américaines. Ce nouveau véhicule électrique fabriqué en Chine a des dimensions comparables à celles d’un VUS sous-compact de type CR-V. Il sera vendu par l’Imperium Motor Company de Colombie-Britannique, une filiale de DSG Global. 

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Tous en selle sur les vélos électriques… et intelligents !

Si les vélos électriques sont tendance, d’autres à la fine pointe de la technologie pourraient très bientôt les remplacer sur les pistes cyclables. Préparez-vous à l’arrivée des vélos intelligents !

La popularité croissante des vélos électriques ne s’est pas amenuisée durant la pandémie, bien au contraire. D’après Francis Marier, copropriétaire du magasin de vélos électriques E2-Sport, les ventes semblent aller bon train. « Pour l’instant, 90% de l’inventaire a été vendu », affirme-t-il au cours d’une entrevue téléphonique.

Selon lui, l’attrait pour le vélo à assistance électrique (VAE) serait lié aux possibilités qu’apporte ce type de véhicule, notamment la capacité de diminuer les efforts physiques lors d’un trajet à bicyclette plus ou moins loin, ou bien en pente.

« Le VAE permet aussi de compenser l’effort pour se concentrer sur la sortie, ou de faire de longs trajets sans pour autant que ça représente un gros effort physique », dit le copropriétaire du magasin E2-Sports.

Francis Marier, copropriétaire de l’entreprise E2-Sports, utilise des vélos électriques pour tous ses besoins, y compris les plus sportifs.

Des vélos de plus en plus technos 

Si le vélo électrique est en pleine croissance, il est fort possible qu’il se fasse rapidement damner le pion par un vélo encore plus évolué. Effectivement, comme son nom l’indique, le vélo intelligent est….intelligent. Pour être exact, il propose des options en fonction des éléments détectés autant chez le ou la cycliste que dans son environnement immédiat, grâce à un système intégré. En termes techniques, les vélos intelligents sont dotés d’un système technologique qui s’adapte à la vitesse des cyclistes, mais qui fournissent également une panoplie d’autres fonctionnalités.

Par exemple, le vélo intelligent Angell, conçu par des créateurs français, a placé un détecteur antichute sur son dernier modèle de vélo électrique, le Angell/S. En cas d’accident, un message est envoyé directement à la personne enregistrée en tant que contact d’urgence sur son téléphone.

Avis Vélo Angel, chaîne YouTube Les Numériques 

Dans le même esprit, un des développeurs de l’entreprise chinoise Oppo, Zhi Hui Jun, a créé un vélo à équilibrage automatique, à l’aide d’un accéléromètre et de capteurs gyroscopiques qui permettent à la roue avant du vélo de compenser et de changer rapidement de direction en cas de chute.

Presque comme sur une voiture

Les vélos intelligents comme l’Angell offrent plusieurs fonctions grâce aux nouvelles technologies : verrouillage automatique, système de surveillance par géolocalisation, vibreur d’aide à la navigation.

Mais le vélo intelligent peut aller encore plus loin. Par exemple, les cyclistes aguerris le savent bien, pour tourner il faut lever le bras. Eh bien le vélo intelligent pourrait régler ce problème une fois pour toutes. En effet, certains modèles de vélos intelligents possèdent des clignotants intégrés et des feux arrière.

Benjamin Sagna est le président fondateur de Yulbike, fournisseur québécois de vélos électriques mettant l’accent sur le rapport qualité/prix. Celui-ci n’avait pas l’air surpris en entendant parler des possibilités offertes par ce type de vélos. « C’est sûr que maintenant, on trouve différentes fonctionnalités intégrées aux vélos électriques », dit-il au sujet des vélos intelligents.

L’équipe de l’entreprise YulBike. Benjamin Sagna, président et fondateur de Yulbike, est la 2e personne en partant de la gauche.

Les mêmes matériaux que les ordinateurs

La conception des VAE, intelligents ou non, nécessite souvent l’usage d’aluminium pour le cadre du vélo. « Entre l’acier plus lourd et moins cher, et le carbone plus léger mais extrêmement cher, l’aluminium est un bon compromis », déclare Benjamin Sagna.

Les batteries des vélos, quant à elles, sont pour la plupart au lithium, le même type de matériaux utilisés pour les téléphones intelligents et les ordinateurs. Ces derniers amènent moins de contraintes, en termes de poids ou d’économie d’énergie, que les dispositifs auparavant consacrés aux batteries d’après le président et fondateur de Yulbike. D’ailleurs, le vélo intelligent conçu par l’inventeur chinois Zhi Hui Jun fonctionne avec une batterie au lithium qui possède une autonomie d’environ trois heures.

Le vélo intelligent à la sauce québécoise

Pour ceux qui ne souhaitent investir dans un de ces nouveaux vélos, d’autres options s’offrent à eux. Le SmartHalo et SmartHalo 2 sont deux appareils à installer directement sur son vélo qui ont été inventés par l’entreprise québécoise SmartHalo. Ces modules disposent d’un système antivol avec une alarme, de lampes intégrées, donnent des informations sur le kilométrage et peuvent être connectés à un téléphone intelligent. Il est même possible de lire ses messages textes à partir du SmartHalo. L’application SmartHalo est disponible sur l’Apple store. Plusieurs options s’offrent aux cyclistes qui veulent faire l’expérience des fameux smartbike.