Un conseiller en ventes décrit ses semaines bien remplies dans un marché « féroce ». Heureusement, il les passe dans le « meilleur groupe » qui existe selon lui!
Michael Fitzback le sait : la vie de conseiller en ventes, ce n’est pas fait pour tout le monde.
« On travaille dans un domaine où l’on vit avec des objectifs. Pour les atteindre, il faut travailler plus fort que d’autres oseraient le faire. On passe au moins 65 heures au concessionnaire par semaine, alors on voit plus souvent nos collègues que nos femmes! », confie-t-il.
Le conseiller des ventes décrit son quotidien chez Spinelli Toyota Lachine à Auto-jobs.ca.
Auto-jobs.ca : En quelques mots, est-ce que vous pouvez nous décrire l’entreprise où vous travaillez?
Michael Fitzback: Nous sommes un groupe de neuf concessionnaires appartenant à Pierre Spinelli. Sincèrement, c’est un propriétaire hyper humain. Il est tellement généreux avec ses employés. Ils les encadre avec des formations et assure constamment leur satisfaction.
Je n’aurais pas pu choisir un meilleur groupe pour travailler.
Quels sont les avantages à travailler avec vous?
On nous offre un excellent plan de paie dans lequel tout le monde est gagnant. Au bout de la ligne, tout le monde fait de l’argent.
L’encadrement est exceptionnel ici. Dans chacune de nos succursales, un employé des ressources humaines sera là pour t’aider à grandir. Ici, on est une vraie petite famille.
S’il y a un renseignement que tu ne connais pas, tu peux le demander à un de tes collègues. Il y a un sentiment d’entraide et non de compétition qui règne dans le groupe.
Quels atouts vos patrons recherchent-ils chez un conseiller en vente?
Ce n’est vraiment pas un emploi fait pour tout le monde… tu l’as, ou tu l’as pas.
Il faut être réceptif à la critique, prêt à apprendre et disponible en tout temps. C’est un domaine dans lequel on fait énormément d’heures parce que le client doit toujours être capable de nous rejoindre.
On fonctionne à la commission, alors il ne faut jamais avoir le ventre plein. Il faut toujours en vouloir plus! C’est une industrie difficile, mais les possibilités d’avancement y sont excellentes.
Quelle est votre clientèle?
On ne se limite pas à une clientèle cible précise. Je dirais par contre que la plupart de nos clients choisissent la location.
Nos clients sont surtout des gens prêts à constater la différence Spinelli. Ici, on ne fait pas de vente à pression. Tout se fait dans la transparence. On a toujours fonctionné comme ça et ça ne changera jamais.
Qu’est-ce qui distingue Spinelli Toyota Lachine sur le marché?
Il faut le dire, ce marché est féroce. Tous les concessionnaires fonctionnent différemment!
Nous, c’est le professionnalisme qui nous distingue. On veut faire vivre une expérience à nos clients. On veut leur faire vivre un vrai effet « WOW! ».
Il y a un grand roulement de personnel chez plusieurs concessionnaires, ce qui n’est pas le cas ici. Cette rétention d’employés permet aux clients d’entretenir des relations durables avec les conseillers. Si tu loues une auto ici, ton conseiller risque d’être encore au concessionnaire dans trois ans.
Quels conseils donneriez-vous à un conseiller en vente qui débute dans le milieu?
De ne pas lâcher! Il faut être tenace, car c’est très stressant quand on commence. Il faut être à l’écoute des techniques de vente de son concessionnaire. Il y a une raison pour laquelle elles ont été déterminées.
Tu auras des semaines, des mois difficiles, mais au bout de la ligne, si tu travailles fort et que tu es toujours disponible pour tes clients, tu auras du succès.