Ce conseiller qui oeuvre dans les ventes automobiles depuis 4 ans se démarque par son humour et son attitude détendue avec les clients!
On a beau rappeler à Frank Dimet que c’est lui, le conseiller en ventes du mois, il refuse de s’attribuer tous les mérites.
« Tout seul, tu ne réussis rien. C’est l’union qui fait la force et qui nous amène à réaliser de grandes choses. »
Auto-jobs.ca a eu la chance de s’entretenir avec ce conseiller en ventes qui aime sortir des sentiers battus.
Auto-jobs.ca : Qu’est-ce qui te plait le plus dans ton travail?
Frank Dimet : C’est vraiment la relation avec la clientèle. Je mets énormément d’emphase sur l’accueil client. J’entame toujours le processus comme si je leur vendais ma propre voiture. Je veux que le client entre ici, et qu’il se sente comme chez lui.
Pourquoi est-ce que tu t’es lancé dans ce milieu-là?
C’est une histoire de fou! J’avais une voiture que j’entretenais chez un concessionnaire et je n’étais pas du tout satisfait du service qu’on offrait. J’ai cliqué : je me suis dit qu’offrir un bon service dans cette industrie-là me plairait.
J’ai donc sympathisé avec le directeur général ici. En voyant mon CV, il a décidé de prendre une chance avec moi. Il m’a donné un mois pour faire mes preuves et c’est ce que j’ai fait. Même si c’est un domaine exigeant, je réalise chaque jour à quel point je l’adore.
Qu’est-ce que tu aimes de plus chez ton employeur?
Je dois tout d’abord parler de mon directeur général Frédéric Beauvais. C’est plus qu’un patron : c’est un ami. Il a un excellent sens du travail et beaucoup de générosité.
Dans plusieurs concessionnaires, il y a de l’animosité dans le showroom. Ici, on est une équipe. Si je suis occupé, je laisse mon client à un autre conseiller. On est tous dans le même bateau, vers la même destination et tout le monde fait le nécessaire pour que ça se passe bien.
Notre propriétaire Charles-André Bilodeau a une vision extraordinaire. Il met constamment tous les petits blocs en place pour construire quelque chose de solide.
Quelles qualités faut-il avoir pour être un bon conseiller?
Être patient. À l’écoute. Se concentrer sur ce qu’on doit faire.
Beaucoup de conseillers disent qu’au moment où le client entre dans le concessionnaire, il faut se donner en spectacle. Je ne suis pas d’accord avec cela. Il faut rester soi-même, authentique, lui plaire.
Qu’est-ce qui fait que tu te distingues des autres conseillers?
Mon sens de l’humour et ma bonne humeur. Quand je me lève, j’ai toujours hâte d’aller travailler. Bien entendu, il faut rester soi-même. Il arrive à tout le monde de connaître de moins bonnes journées. J’essaie quand même de garder une bonne attitude et de créer une bonne atmosphère dans notre équipe.
Quel est ton meilleur coup depuis que tu as rejoint Kia Chambly?
Peut-être que plusieurs personnes parleraient de coup d’argent, mais je pense qu’on peut aller plus loin que ça. L’argent c’est important, mais le service client l’est encore plus.
Les clients qui s’attendent à entrer dans une routine en me rencontrant sont surpris. J’aime m’assoir avec eux, discuter de la vie. Leur laisser une voiture pour le week-end. Je fais tout pour qu’ils soient à l’aise, bien accueillis, et c’est ça mon plus grand coup depuis que je suis ici.
Quels conseils donneriez-vous à un conseiller en vente qui débute dans le milieu?
Débuter dans ce domaine, ça peut faire peur. Soit tu réussis, soit tu échoues. Il n’y a pas d’entre deux…
Il n’y a aucun modèle de vente à apprendre par coeur. Croire qu’on va connaître parfaitement nos véhicules au départ est une erreur. Si tu ne connais pas ton véhicule, ce n’est pas grave. Tu apprendras à le connaître avec ton client.
Et surtout, ne tente pas de répondre aux questions auxquelles tu ne connais pas les réponses!