Croyez-vous en la 2e chance ?

Mauvais choix, délits, casier judiciaire, probation. Quelle limite se fixent les employeurs du secteur automobile qui veulent engager des candidats au passé trouble ?

Ce n’est pas un secret, même si on n’ose souvent pas en parler librement : dans le domaine automobile, les travailleurs ayant déjà commis des infractions ne sont pas rares.

Ces délits sont très divers. Il peut s’agir de possession de drogue ou de petits vols à l’adolescence, pour lesquels on peut même avoir reçu un pardon. On peut aussi rencontrer des personnes aux prises avec des conflits familiaux complexes menant à l’intervention de la DPJ. Mais certains candidats présentent aussi des antécédents judiciaires plus graves, comme des vols ou des agressions à main armée, des crimes d’ordre sexuel, ou bien carrément des meurtres pour lesquels ils ont été emprisonnés.

Alors, quelle limite se donne-t-on quand on veut embaucher de tels candidats ? Nous avons mené notre enquête.

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Cinq manières de convaincre son employeur de rester en télétravail

Le télétravail est entré dans nos vies depuis le début de la pandémie, et nous y avons pris goût. Alors, quels arguments pouvons-nous donner à notre employeur pour continuer à télétravailler une fois que la crise sanitaire sera passée ?

Ah, le télétravail… Ce dernier nous a montré un monde dans lequel il n’était pas nécessaire d’embarquer dans une voiture ou le transport en commun tous les matins et soirs. Il a facilité nos vies et s’est ancré solidement dans nos habitudes. Mais avec la pandémie qui s’estompe lentement à l’horizon, le télétravail risque lui aussi de disparaître.

Serait-il toutefois possible de convaincre nos employeurs de rester en télétravail de façon permanente ? Quels seraient les meilleurs arguments pour y arriver ? En voici cinq.

1- L’intérêt de la formule de travail hybride

Selon une étude menée par Tania Saba et Gaëlle Cachat-Rosset, de la Chaire BMO en diversité et gouvernance de l’École de relations industrielles de l’Université de Montréal, 39% des gens aimeraient demeurer en télétravail à la fin de la pandémie. Par contre, les employés sont quasiment aussi nombreux (37%) à dire qu’ils n’envisagent pas du tout de continuer à travailler de chez eux. Puisque les deux parties s’équivalent, il serait pertinent de proposer un compromis et d’instaurer le télétravail à temps partiel au sein des entreprises. 

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